Tout le monde a ri d'elle pour sa confusion entre "inflation" et "fellation". Ces gens sont des ânes !
En fait les deux termes sont intimement liés et, en spécialiste des phénomènes politiques, économiques et humains, Rachida Dati n'a fait qu'une simple erreur de timing.
Réfléchissez bien: qu'est-ce que c'est qu'une inflation ? C'est un gonflement rapide de la masse monétaire ! Eh bien de la même façon l'inflation du sexe masculin est une condition "nécessaire" , comme disent les mathématiciens, pour permettre la fellation.
Rachida Dati a simplement zappé le premier épisode pour entrer dans le vif du sujet.... Bon, et alors !
Comme le dit la chanson de Chagrin d'Amour "chacun fait, fait, c'qui lui plait plait !"
Pour en revenir à la fois à l'économie et au sexe d'ailleurs, après la fellation, on le sait, vient la déflation ! Cette opération de dégonflement, correspond tout à fait à la période de crise que tous traversent en ce moment et, devant l'impuissance des économistes, des politiques et responsables de tout poil, il reste un ultime recours, une sorte de "méthode coué " qui pourrait rendre à tous la confiance perdue:
Que chaque femme, que chaque homme de ce pays se prenne en main et suive le conseil donné fortuitement par Rachida Dati, en commençant par travailler à une inflation sexuelle à domicile..... Une
fellation nationale rendrait au pays l' euphorie qui manque pour repartir de l'avant.
Mais tous les électeurs et les électrices du pays apprécieraient pour une fois que nos représentants adeptes habituellement du "faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais" se livrent à titre exceptionnel à des premières dans les assemblées:
Nationale, Sénat, Conseils Régionaux et Généraux; dans les Ministères et autres lieux de pouvoir; afin de montrer au pays leur volonté générale, tous partis confondus, de sortir du marasme.
Après nous avoir rebattu les oreilles de "retraites et de départs", il serait temps de penser à la "relève " , non ?
Seul problème le nombre impair car il faut pour cette opération être deux, un consensus sur cet événement peut en effet générer un "con sans suce" qui, je le rappelle, est quelqu'un pris d'une envie subite de fellation et qui revient bredouille du bois de boulogne !
La frustration qui en résulte génère, surtout chez les parlementaires, une pollution neuronale perverse qui se matérialise très rapidement en décisions ou votes assez débiles, souvent soulignés par les medias qui vous expliquent alors "un con sans suce est intervenu....."
Mais j'aurai l'occasion, dans un prochain article, de vous décrire en détail un exemple choisi sur ce sujet particulier, grâce à l'enquête minutieuse des reporters de mon journal "la feuille du 338".
Cela dit la fellation en politique n'est pas quelque chose de nouveau, déjà dans les années 40 un exemple fameux d'échec m'a été rapporté. Une fanatique du Maréchal Pétain voulait absolument le rencontrer pour lui dire son admiration, prouver son attachement à l'idole qu'il était pour elle. Après moult difficultés elle obtint une entrevue à Vichy. Se précipitant à ses pieds en criant son amour, sa dévotion, elle finit par rosir en exprimant le souhait de pratiquer une fellation.
Ce à quoi le Maréchal répondit:
J'apprécie grandement votre offre ma chère enfant, mais vous savez à mon âge, on est trop éteint!
Et puis j'ai le dard lent ! Quant à la relève il ne faut pas y compter !
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