mardi 2 novembre 2010

HEIN ! SODOMIE ! AVEC DES BÊTES !

Tout arrive en effet, l'homme a ses folies, invente n'importe quoi, même les spécialistes n'expliquent pas, vous savez "ceux qui savent tout sur rien" comme disait Coluche ! Car nous parlons ici des adeptes appelés "bearbackers" de "bear", ours, de "back", dos et avec la terminaison "er " le verbe... Vous
comprenez donc aisément l'action, non?
Curieuse pratique me direz-vous que de sodomiser une Ourse ! Effectivement. Mais soyez certains que cela n'a rien à voir avec le fait que l'une des ourses pyrénéennes se prénomme comme une femme
politique de premier plan. Alors allez savoir? Goût du risque, un sens du toucher qui apprécie le pelage, l'amour de la puissance de la partenaire, ou bien ses grognements excitants ? Nul ne sait. Quoi que, finalement, on peut peut-être admettre chez certains l'existence d'un fantasme érotico-politico-sexuel qui surgirait ainsi, d'abord en raison de la beauté du leader en question, ensuite en tant qu'extériorisation d'un sentiment de ras-le bol de se "faire baiser par les politiques", venant de l'inconscient comme le besoin d'une vengeance, enfin comme surgissant du plus profond de notre cerveau de singe, et je pense au Bonobo,  qui résout tous ses problèmes par un acte sexuel. Bref nous sommes en pleine "gestalt" théorie !
N'étant pas moi-même franchement fan, ni de la politique ni des ourses ,  il m'est difficile de parler du ressenti des acteurs de cet étrange accouplement.
Les bergers , eux, vont apprécier car, pendant que les ourses sont affairées avec nos bearbackers, elles ne tuent pas les brebis et c'est toujours cela de gagné !
Mais  ce n'est pas de tout repos de draguer une ourse,  car il faut l'approcher l'ourse, l'amadouer, lui expliquer ce que l'on attend d'elle, lui dire qu'elle sera heureuse. Mais ne parle pas l'Ours qui veut , et j'imagine l'apprentissage du langage au bureau ou à la maison... ça ne doit pas être triste !
Que fais tu mon chéri? Rien je me gargarise !
Tu as dit quelque chose ? Moi? Non, rien!  Pourtant on aurait dit une sorte de grognement étonnant !
Et puis qui sait ? Imaginons que l'ourse aime cela, on n'en sait rien en fait puisque peu de gens parlent l'Ours en vérité.
Est-ce que nos fameux adeptes utilisent la ruse ? Avec la technique des pots de miel c'est possible : des étiquettes de plus en plus petites (en langage ours bien entendu) "attention  bearbackers",  et placées sur des pots installés à  des hauteurs décroissantes....  Avec sur la dernière étiquette la mention "trop tard" !
Bon! Peu importe la méthode mais ce que je veux vous expliquer c'est le drame dans les couples. Un drame comme celui que je vais vous décrire:
Je pense à monsieur "X" qui rentre chez lui le soir et a une bouffée dingue de désir mais sa femme le repousse, elle a autre chose à faire. Frustration Donc et besoin de se calmer. Au fil des minutes l'idée de sortir vient au mari, il commence à penser à une ourse, et une fois cette idée dans sa caboche, c'est fini ! Mais cette femme ne sait pas que son homme est un bearbacker. Alors après le dîner elle se pomponne met sa nuisette affriolante ... Mais ô surprise son mari s'approche de la porte! Alors croyant à une mise en scène, elle se colle à lui, ondule, se frotte , le bisouille, en lui assénant l'argument massue "tu viens mon gros lion". Et vous comprendrez maintenant le sens de l'expression qu'il donne en réponse tout en ouvrant la porte de son logement:    " pas ce soir chérie, j'ai mes ourses !"

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